Les katakana sont utilisés pour :
- Les mots d’origine étrangère
- Les onomatopées
- Produire un effet particulier, par exemple pour mettre un mot en évidence, un peu comme notre italique
1. Katakana de base
1.1 Présentation
Il existe 46 katakana de base. Ils servent à écrire les mots d’origine étrangère.
Chaque caractère représente une syllabe et de la même manière que notre alphabet permet de faire des phrases, l’enchainement des katakana va constituer un mot.
Exemples :
エ (é) +レ ー (léé) +ヌ (nu) donne エレーヌ (éléénu) qui signifie « Hélène »
ミ(mi) + ル (lu) +ク (ku) donne ミルク (miluku) qui signifie « lait » (ce mot vient de l’anglais « milk »)
1.2 Tracé
2. Katakana composés
3. Petit tsu (ツ)
Un petit tsu inséré entre deux caractères ne se prononce pas mais indique que l’accent est mis sur la première syllabe, un peu comme at-choum. Par exemple : サッカー, sacca (football) se prononce sa (suspension) kaaa.
4. Les sons longs
Certaines voyelles peuvent être allongées en ajoutant un tiret « ー ». Par exemple : ノート, cahier, se prononce nooto.
5. Écrire en katakana sur son clavier d’ordinateur
[icon style= »icon-checklist » url= » » target= »_self » lightbox_content= » » lightbox_description= » »]Retrouvez la méthode pas à pas pour vous aider à installer la langue japonaise sur votre pc et à maitriser les subtilités du clavier.[/icon]
Le mot « ramen » (pâtes dans un bouillon à base
de poisson ou de viande) écrit en katakana